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Tu n'étais encore qu'une enfant,
Si pure, au regard innocent,
Aimant la vie, les amies, les loisirs,
Sans te soucier des jours à venir.
Nul ne pouvait se douter,
Qu'un jour ton corps serait souillé !
Sans comprendre ses gestes déplacés,
Il t'a obligé....humiliée, blessée.
Comment imaginer l'avenir,
Quand on à perdu le sourire,
Comment avoir envie d'aimer, de chérir,
En ayant jamais connu le désir.
Tags : jour, sans, venir, soucier, nul
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Commentaires
1ptefleurs18Mercredi 13 Avril 2011 à 11:47RépondreBonjour Gisèle, c'est un poème bien émouvant et qui traite d'un sujet dont malheureusement beaucoup d'enfants sont victimes et difficile de se construire quand on a subi de telles violences. Gros bisous et bon après midi.
un poeme bien grave, qui fait ressortir beaucoup de souffrance, je reste toujours horrifier lorsque j'entend que l'ont touche a des enfants, je te souhaite une belle soiree gros bizzzzzzzzzzous
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